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10 novembre 2011

Extrait N°21 de l'écho été,automne 2011

CLEDA

Signature du contrat de rivière
Bien que signé le premier juin dernier, le contrat de rivière est en gestation depuis pas moins de 15 ans. Par cette signature les partenaires financiers s’engagent à participer au financement des 33,6 millions d’euros nécessaires pour mener à bien l’ensemble des 81 fiches actions opérationnelles qui ont été définies. Lors de cette signature, le président de la CLEDA Jean - Pierre FESTA, a insisté sur la nécessité de sensibiliser tout un chacun pour changer les comportements, pour que tous puissent profiter d’une eau aussi bien potable que d’irrigation, en qualité satisfaisante et quantité suffisante. On peut rajouter à cela, notre volonté de restaurer un équilibre naturel à cette rivière. Il ne faut pas oublier qu’en l’espace de 30 ans, le débit naturel moyen du Drac a baissé de 10 %. A notre niveau et par le biais du contrat de rivière, la CLEDA a déjà piloté une étude qui était obligatoire pour nous, intitulée « étude de danger des digues de classe C ». Cette étude sera présentée dans un prochain numéro.


Recours auprès du Conseil d’Etat : communiqué de presse
Face à l’échec de multiples tentatives de médiation, la CLEDA, la Communauté de Communes de Haut Champsaur et la  commune de Saint Jean Saint Nicolas avaient déposé un recours auprès du Conseil d’Etat pour demander l’annulation de l’ordonnance du juge des référés du Tribunal Administratif de Marseille et la suspension de l’arrêté préfectoral du 1er décembre 2006 autorisant l’ASA du canal de Gap à turbiner l’eau du Drac à l’usine hydroélectrique de Pont Sarrazin. Par arrêt du 6 juillet 2011, le Conseil d’Etat a donné raison aux requérants : ainsi le fonctionnement de la microcentrale de Pont Sarrazin est  suspendu. Les élus du Champsaur sont particulièrement satisfaits de cet arrêt qui devrait permettre aux collectivités du Champsaur de renégocier, avec l’ASA du canal de Gap et l’Etat, une juste répartition des eaux du Drac entre les différents usages: l’irrigation du Champsaur et du Gapençais, l’eau potable du Champsaur et de la ville de Gap, l’amélioration de la  qualité du Drac et des ressources en eau de l’ensemble du bassin.

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Commentaires
M
Enfin ... <br /> Pour l'eau, de tout temps, ce n'est pas les gens de l'aval qui décident ce qu'ils doivent faire de l'eau ...au minimum,ils doivent être transparents sur les volumes et l'utilisation .(Quand a gagner de l'argent sans le partager ! ! ! un comble ...)<br /> Au mieux ils participent et s'investissent pour les captages,l'assainissement en amont ,la réalisation de digues ....<br /> <br /> En tout cas,une brêche est ouverte dans un système ou la relation n'était pas équilibrée.<br /> Encore bravo,car l'eau vient juste après l'air pour la vie ... (Faut il ...aussi le rappeler ???)
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